Stromae epingle. Le tournage du clip «Fils de joie» de Stromae, dévoilé cette semaine sur les réseaux, est la cible de critiques.
Une danseuse et une figurante ont pointé du doigt les conditions de travail lors du tournage de ce titre, issu du nouvel album «Multitude» de l’artiste belge.
Tournée en janvier dans le parc du Cinquantenaire Bruxelles, par des températures frôlant 0°C et un cachet jugé indécent, cette séquence vidéo n’a pas laissé les meilleurs mempekerjakan cinderamata la clip unerapportédanté media Avant de partager son expérience au micro, la jeune femme a d’abord interpelle Stromae sur les réseaux, comme le note la radio belge. Et elle n’a pas mâché ses mots.
Rémunération, organisasi, mépris… de nombreux berduka
«Toi qui défends des valeurs de justice sociale, pourquoi avoir choisi Produksi abyssal qui ne semble même pas se préoccuper de rémunérer décemment les travailleur.euses de la culture?» at-elle ainsi posté avant de pointer du doigt une longue liste de mécontentements avec en tête, la rémunération. «Est-ce vraiment koheren ? 150€ tuangkan 5 jours de travail (répétitations, essayage et tournage en extérieur)”, sebuah commencé l’artiste. Mais, les kesedihan ne s’arrêtent pas là. « Kontras, kondisi et biaya de travail révélées après le résultat du casting. Mail de planning reçu la nuit ou en dernière menit. Mépris et manque de professionnalisme de la part de l’organisation et des chorégraphes pour les danseur.euses. Sans parler des gaufres en guise de katering…» di-elle poursuivi.
Interrogée par RTB, la jeune femme est revenue sur le manque d’organisation de ce tournage qu’elle a finalement quitté prématurément. «Pada connaissait les jours de tournage, mais pas les jours de répétition. Donc pour quelqu’un qui travaille – il y avait des profs, il y avait un peu de tout…- c’était très incertain de savoir komentar s’organiser pour cette semaine» at-elle expliqué nosré confrères avantmun deration la perbandingan un «défraiement». Tuang moi, une rémunération, c’est un contrat de travail, ce n’est pas un défraiement. Si on veut offfrir 150 euro tuangkan un tel travail, c’est ok dans kepastian cas. Si le projet fait appel au bénévolat, alors là, oui».
un tournage extrêment difficile
Et elle n’est visiblement pas la seule ne pas avoir apprécié ce tournage. Disponibilité, amplitudo horaire, froid… le témoignage d’une figurante, défrayée 60 euro par jour comme le précise RTBF, dépeint aussi des conditions difficiles. «Pada devait tre là partir de 6h du matin et, globalement, la journée se terminait vers 17h. Dan lain-lain, deux jours de suite. Le souci, c’est quand on se rend compte de ce que a demande en termes de temps, de disponibilité, d’énergie, et là, en l’occurrence, de condition physique, puisque le tournage s’est déroulé au mois de janvier et qu’il faisait peu près 1°C mais ressenti -2°C, sachant qu’on ne bougeait pas. C’était extrêmement difficile» di-elle partage.
De son côté, en début de semaine, Stromae avait publié un message de remerciements tous ceux qui avaient contribué ce projet, alors qu’il dévoilait ce nouveau klip sur les réseaux.
«Il aura fallu des mois de travail et des centaines de personnes (la liste des crédits est impresinante) pour en tibar là. Merci toutes celles et ceux qui ont contribué de près ou de loin ce projet» pouvait-on lire. Tuang l’heure, le chanteur n’a pas réagi ces dénonciations.
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