“Pour les choisir, j’ai fait un test chez moi Los Angeles”, sebuah ekspliqué Adrian Lyne l’AFP. “Je ne connaissais pas bien Ana, mais quand j’ai vu son travail avec Ben, j’ai tout de suite compris qu’il y avait de l’alchimie. Ce n’est pas lui ou elle, mais eux ensemble”.
L’enjeu: mantan un couple redoutable l’écran, le personnage d’Ana de Armas rendant son compagnon fou de jalousie avec ses infidélités.
Si le film d’Adrian Lyne pourrait tout fait sortir des années 1980, les conditions de travail ont change, noté Adrian Lyne, qui a notamment découvert le rôle des “koordinator d’intimeté”chargés de mettre les acteurs plus l’aise dans les scènes de sexe, de veiller au respect de leur consentement et d’éviter les abus.
“La notion elle-même me consternait”, admet le réalisateur. Ce que je n’aime pas, c’est l’idée que cela implique qu’il y ait un manque de confiance entre les acteurs et le réalisateur. Si tu n’as pas a, tu n’as rien. Je pourrais ” mourir pour eux, et ils doivent pouvoir mourir pour moi”.
Un réalisateur doit par ailleurs toujours se battre pour konservasi les éléments troublants d’un projet de film, souligne-t-il : “souvent l’instinct des studios est d’aplatir toutes les bosses du scénario, celes sont souventes”.
Dans le film, le couple ne sesuai pas aux canons hollywoodiens. Le personnage d’Ana de Armas trompe son mari ouvertement, avec une Certaine complicité de celui-ci. “Il ne s’agit pas d’un mariage conventionnel et heureux. Il ya une sorte de malaise”souligne-t-il.
“Fanatik alkohol yang sangat rendah hati. Praktisi bir yang tidak menyesal. Analis.”
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